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Après le départ de Syd, Pink loyd tourna en Angleterre et en Europe
jouant jusqu'à trois concerts dans la même journée (le 1er
Juin 1968).
Au nombre des concerts mémorables, on peut noter le "First International Pop
Festival" de Rome, en Mai 1968 (dont l'enregistrement de trois titres et d'une interview
nous sont parvenus) ; les deux concerts d'Amsterdam du 23 Mai 1968 (puisqu'il s'agit de
deux des seuls trois concerts entiers de cette époque dont il existe des
enregistrements) ; le premier concert gratuit organisé à Hyde Park à Londres
et celui du 28 Décembre 1968 à Utrecht, au Margriethallen (car il en existe
un enregistrement).
Au regard des concerts dont nous connaissons le contenu, on peut dire que les concerts de
la tournée 1968 étaient essentiellement basés autour de :
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[Par David Schuetz et Steven Dobbs] : "Ummagumma" est une expression argotique qui signifie "enlever ses bottes" ... qui est aussi une expression argotique qui signifie "faire la bète à deux dos ... qui est une expression argotique pour ... faire l'amour. Bon, mais Rock and Roll aussi ... Donc UmmaGumma pourrait tout simplement vouloir dire Rck and Roll ! La prononciation de "UmmaGumma" semble varier ... Au cours de la série "Omnibus" spéciale Pink loyd sur la BBC, Nick Mason prononce " oo-mah-goo-mah," alors que sur un Roio, Waters annonce une chanson de "uh-ma-gum-a". |
Suivant les éditions, on peut voir posé contre le mur en bas, la pochette
de la bande originale de la comédie musicale "Gigi", qui a dû être effacée
de l'édition américaine pour des raisons contractuelles. On peut aussi trouver
une marque "Special Buy" sur la pochette.
La photo du verso est prise sur l'aéroport de Biggin Hill. Les deux roadies
sont Alan Styles (celui de "Alan Psychedelic Breakfast")
et Peter Watts (dont on trouve une interview dans un songbook
(elle est d'ailleurs disponible on-line à l'adresse suivante :
http://ultra.gawth.com/~rjones/loyd)
Sur la pochette, l'effet "Vache qui rit" dans le tableau s'arrette sur la pochette de
"A Saucerful of Secrets"
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MFSL avait prévu de travailler sur "UmmaGumma" dans la série de CD "UltraSound"
mais renonça finalement, en raison "de masters de trop mauvaise qualité".
Certains y voient une action du loyd (ou de EMI) qui, souhaitant sortir sa propre version
remasterisée aurait retiré leur autorisation.
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Une société spécialisée dans la fabrication de pneus pour vélos
propose un modèle ultra adhérent très tendre, préconisé pour
les utilisations extrêmes dont le nom est "UmmaGumma".
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[Merci à Ian Russell et Glenn Povey et
leur excellent livre] Contrairement à ce qui est écrit sur la pochette du disque, la partie "live" de "UmmaGumma" fut enregistrée en trois lieux :
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L'idée première du groupe était d'enregistrer les morceaux pour la postérité
et de les retirer du répertoire de scène. Mais le disque ayant eu beaucoup de
succès, le public ne cessa de vouloir les entendre et ils restèrent au répertoire
de nombreuses années encore
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"Interstellar Overdrive" fut enregistré et mixé en vue de son inclusion
sur "UmmaGumma" avant que le groupe ne change d'avis.John Peel en reçu une copie sur
acetate qui lui fut volé ultérieurement.
On ne sait ce qu'il estd evenu ensuite ... En tousc as, tous les Roios prétendant
inclure une copie de cette evrsion ne présentent que celle des sessions BBC.
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L'idée était de laisser à chaque musicien du groupe une demie face
pour qu'il s'y exprime librement. Il devait tout faire par lui-même (composition
et jouer de tous les instruments). Nick Mason tricha certainement, car il est
probable que c'est son épouse qui a joué la partie de flute.
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Tout d'abord qu'est-ce qu'un "Pict" ? :
Voici maintenant deux interprétations de la déclamation de Roger Waters :
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Au début de "Sysyphus", le morceau de Richard Wright, on peut reconnaitre la mélodie de
"Douce nuit" (le chant de Noel).
"Sysyphus" (sysyphe), ou "Sisyphus" est une figure de la mythologie grèque
qui avait reçu pour punission de devoir faire rouler une pierre en haut d'une montagne
pour l'éternité.
[JME] : Ce motif est d'ailleurs repris pour quelques visuels de la tournée 94.
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Sur de label du disque de l'édition vinyle Capitol, référencée SW-11198, (mais pas sur la pochette),
"Up the Khyber" devient : "Up the Khyber (juke box)" ; et "Quicksilver" devient "Quicksilver (Water-Pipe)".
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Certains prétendent que la chanson "Up the Khyber" aurait été composée pour illustrer une scène de sodomie
car "Khyber" est un mot argotique pour "cul" (ndt : le titre aurait donc un équivalent (très) vulgaire
du genre "plein le cul" ...). Vous trouverez une analyse détaillée du film "More" dans
Brain Damage n°40 dans un article écrit par David King.
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"Cymbaline" a cette particularité d'être une chanson autoréférentielle
puisque le premier couplet demande : "...will the final couplet rhyme ? " (est-ce que le couplet final va rhymmer ?)
alors que justement le dernier couplet est le seul à ne pas rhymmer ...
 Lire les notes de traduction
La chanson fit son apparition au sein du répertoire scénique du groupe en tant que "Nightmare" (le cauchemar)
qui était une des sections de la suite "The Man & The Journey".
Au milieu du morceau le cauchemar commençait, avec les bruits de pas d'un marcheur invisible, l'ouverture
d'une porte grinçante ... Toutes sortes de sons qui donnaient au groupe l'opportunité de faire jouer à plein
son célèbre système "Azimuth Coordinator". Donc, logiquement, même après avoir arrêté de jouer "The Man & The Journey",
"Cymbaline" resta au répertoire de scène. En plus des enceintes permettant la restitution d'un son quadriphonique
dans la salle, et en fonction des possibilités de chaque lieu, le groupe ajoutait parfois des enceintes supplémentaires
pour, en jouant avec un joystick à la table de mixage, promener le son des loges au balcon, du sol au plafond
et d'avant en arrière ...
La version présente dans le film voit ses paroles légèrement modifiées. En effet, dans le premier couplet,
les vers :
> Will the tightrope reach the end ? > Will the final couplet rhyme ? deviennent > Standing by with a book in his hand > it's an easy word to rhyme [JME] : ce qui dénote du même soucis ;-). Notez enfin que dans la version du film, le chant est assuré par Roger Waters, au lieu de David Gilmour sur la version disque. |
[Merci à Adam Winstanley ... entre autres]
En fait, plusieurs enregistrements de concerts incluent "The Man and The Journey", et il est bien possible
que certaines personnes en possèdent sans même le savoir. Il s'agit de deux parties composées de morceaux
bien connnus de Pink loyd rassemblés au sein de la suite "More Furious Madness From The Massed
Gadgets of Auximines" :
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Bien qu'il n'en existe aucun enregistrement officiel, quelques concerts circulent.
Par exemple :
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Il y a eu de nombreux débats pour tenter de deviner qui joue de la trompette
pendant "Biding my Time". Conrado Daws et Karl Magnacca ont finalement trouvé
que, au moins pendant les concerts, Rick Wright jouait de la trompette puisqu'une
photo de l'époque "The Man"/"The Journey" le montre en train de jouer de cet instrument
et que lorsque la trompette joue, on peut entendre la basse de Roger, mais pas de claviers.
(Et ceci en contrairement à ce que vous avez pu lire dans TAP).
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Personne ne le sait. David Gilmour déclara lors d'une interview que cela pouvait avoir un rapport
avec la mythologie grèque, mais qu'il n'en était pas sur.
D'intrépides "Echosiens" se sont lancés à la recherche, tant sur le net que dans les bibliothèques,
ont interrogé des experts (ou du moins des professeurs de civilisation grèque) sans rien
trouver de solide.
Il existe toutefois, une société belge qui fabrique des mines, et qui a pour nom Auximines.
(Auxi - mines).
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La suite "Atom Heart Mother (en opposition au titre de l'album) est un instrumental
qui occupe toute la première face du disque. Il est divisé en six parties. La différentes
parties sont identifiables apr le retour du thème pricipal joué par tous (groupe et orchestre).
Au delà de cela, il y a quelques controverses sur les débuts et fins de chaque partie.
Les versionsz EMI et MFSL ont des index qui sont très similaires d'une version à l'autre
et qui sont décrits ci-dessous (de légères différences de quelqeus secondes). Toutefois
plusieurs "Echosiens" ne s'estiment pas satisfaits par ces découpages et ont développé un
indexage alternatif que l'on pourra compare avec les valeurs "officielle".
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Dans le morceau on peut entendre de ma nière distincte deux annonces :
> 17:28 "Here is a loud announcement" > 19:08 "Silence in the studio!" Stanley Kubrick avait demandé carte blanche au groupe pour utiliser la suite dans son film "Orange Mécanique". Ce que le groupe a refusé (ce qui fait que quand Roger Waters lui demanda d'utiliser le sond e la respiration de 2001 sur son album "Amused to Death" Kubrick refusa ...). Kubrick aurait voulu utiliser le morceau pour la scène du bar dans laquelle le héro et sa bande de crapules vont boire du lait qui jaillit des seins de statues ... Le titre de la suite fut trouvé lors du concert du Paris Theatre pour une session BBC. Alors que le groupe devait fournir un titre pour le morceau, Ron Geesin conseilla à Waters de regarder dans l'Evening Standard si il pourrait y trouver une inspiration. Et en effet le quotidien contenait un article sur une mère ayant pu accoucher grâce à un pacemaker. L'article était intitulé "Atom Heart Mother". La suite est inscrite dans l'histoire désormais, comme on dit. Le morceau a été annoncé sous différents titres par le groupe en concert :
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La version EMI de Atom Heart Mother est une simple feuille pliée en deux avec une image
de vache et les mentions légales.
La version remasterisée contient un livret de 24 pages avec tous les textes et
de nombreuses photos, de trayeuse, de bottes, d'un piano, et l'inévitable petit-déjeuner
psychédélique. L'image sur le disque représente une vache. Le Cd comprend aussi une carte
d'en cas pour petit déjeuner qui va avec "Alan's Psychedelic Breakfast".
D'un coté on trouve le "Traditional Bedouin Wedding Feast" (fiesta bedouine traditionnelle pour mariage)
et de l'autre une recette en allemand :
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Alan est Alan Styles, un technicien du groupe à cette époque. Le Alan du morceau Alan's Psychedelic
Breakfast c'est bien lui, et c'est sa voix que l'on peut y entendre. Les sons de cuisine
furent enregistrés dans la cuisine de Nick Mason. Le groupe n'a jamais été véritablement
satisfait de ce mroceau ce qui explique qu'il n'a été joué en concert que quelques rares
fois. Au cours de ces représentations, le groupe se faisait servir le thé sur scène
(et ce pasasge est d'ailleurs manquant sur le seul enregistrement connu de la pièce).
Les tous premiers pressages de l'abum avaient la particularité d'avoir un sillon sans fin
sur la plage finale y laissant reproduire à l'infini le bruit de la goutte qui tombe.
Le morceau est divisi" en trois parties :
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Le titre "Zabriskie Point" fait référence à un pic rocheux dans la vallée de la mort,
l'un des points les plus chauds du globe.
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"Zabriskie Point" (1970): [ par Toapher ] Je serais le premier à admettre que "Zabriskie Point" n'est pas le meilleur des films à la mode, ce qui ne signifie pas qu'il ne vaille pas le détours. Le déroulement en est assez lent, et le sujet n'est pas scotchant. Mais il est important de se replonger dans le contexte dans lequel ce film a été tourné. Le film a été tourné en 1969, période qui fut le paroxisme de la contestation civique aux USA. Bien que les acteurs ne méritent pas une nomination aux oscars, le film propose une bonne description des enjeux et des errances de la jeunesse de l'époque. Nous avons tendance à nous souvenir des années soixantes d'une manière très romantique, mais la vérité est que ça a été une période très difficile pour tout le monde. Et "Zabriskie Point" tente d'amener un autre éclairage sur cette période que l'habituel cliché du "Summer of Love". De plus, le film développe une sous-trame. Les textes de "Crumbling Land" indiquent que le loyd avait connaissance de cette sous-trame. La femme travaille pour une société d'aménagement du territoire qui a pour projet de créer une communauté dans le désert. Ils tentent de le faire dans une partie du territoire qui ne peut sustenter les besoins d'une telle communauté et l'enjeu est que pour ce projet ils vont devoir vampiriser les éco-systèmes adjacents et détruire les habitats naturels et polluer une zone propre. La "célèbre" scène de sexe qui se déroule à Zabriskie Point, est sensée illustrer la beauté naturelle et la puretée de ce paysage vierge. Le film est disponible en DVD. |
Rhino records a sorti (en 1997) une nouvelle version de la bande originale du film.
Cette version contient sur le premier CD la version originale remasterisée, et un
deuxième CD totalement inédit qui contient quatre titres de Pink loyd :
En plus des morceaux de Pink loyd, le deuxième disque comprend des inédits instrumentaux de Gerry Garcia (qui valent vraiment l'écoute). [ JME ] : Depuis la rédaction de ce chapitre un Roio complet d'inédits de Pink loyd composés pour "Zabriskie Point" a vu le jour. Il est malheureusement dans un grand désordre et pas toujours à la bonne vitesse. Des fans ont donc entrepris de regrouper tous les morceaux de "Zabriskie Point" sur "Complete Zabriskie Point". |
L'histoire est assez simple : Michael Antonioni a demandé à Pink loyd de composer
la musique de son film "Zabriskie Point". Le groupe a passé deux semaines à Rome
se couchant tard, buvant de la bière et travaillant jusqu'à spet ou huit heures
du matin.Quoi que le groupe compose, Antonioni se montrait déçu par le résultat :
"C'est très bea, mais c'est trop triste" (avec l'accent italien).
Après deux semaines sur ce rythme, Antonioni arréta les sessions d'enregistrement
et choisi trois des morceaux composés et validés par le groupe (sur un total de huit
d'après ce qui en a été dit), l'un d'eux ("Come In Number 51, Your Time Is Up") étant
une nouvelle version de "Careful with that Axe, Eugene", et qui est probablement
l'unique raison ayant motivé le choix de Pink loyd par Antonioni.
La bande originale contient des morceaux de The Kaleidoscope, The Grateful Dead,
Patti Page, The Youngbloods, Jerry Garcia, Roscoe Holcomb et John Fahey.
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les deux tournées 1970 et 1971 furent les dernières au cours desquelles
Pink loyd se permit de modifier le répertoire de tournée, et d'improviser
longuement au cours des morceaux.
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Les concerts de ce début d'année furent les derniers pour lesquels le groupe
n'avait pas une liste "type" de morceaux à jouer lors des concerts, et
offrit aux spectateurs des morceaux atypiques.
Malheureusement, nous ne disposons que de trois enregistrements de cette époque : 18 Janvier 1970 ; Croydon 23 Janvier 1970 ; Paris (diffusé à la radio) 11 Février 1970 ; Birmingham Chacun est digne d'intérêt, au vu des titres joués ("Sysyphus", "Main them from More", "The violent sequence"). Puis, avec la tournée Européenne (en mars 1970), le groupe commença à recentrer son répertoire de scène sur une liste de morceaux plus restreinte et les variations, tant dans l'ordre des titres joués que dans leur interprétation furent minimes. |
Un concert typique de la tournée 1970 était composé des morceaux suivants :
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Il s'agit du titre donné par quelqu'un-qui-en-aurait-entendu-parlé
à la version de "Embryo" que l'on peut trouver sur le Roio "Picture of Pink loyd".
Contrairement à ce que l'on peut lire sur le Roio en lui-même, l'enregistrement n'est pas celui
du Royal Albert Hall, mais plutot d'un concert de Novembre 1970. En effet, avant "Embryo"
on peut entendre le groupe improviser (improvisation à laquelle on associe aussi parfois le titre "Corrosion")
avant que Roger Waters ne se lance dans une diatribe digne de "Several Species of Small Furry Animals
Gathered together in a Cave and Grooving with a Pict" puis de présenter "Mr. Nicholas Mason on drums".
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En 1971 aussi, le groupe fut accompagné au cours de quelques concerts exceptionnels par un orchestre
classique pour le morceau "Atom Heart Mother" :
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La voix qui, au milieu du morceau dit "One of these days I'm going to cut you into little pieces"
est celle de Nick Mason.
À environ 3 minutes du début du morceau, on peut entendre un petit thème de clavier
qui fait penser à certains au thème de Dr. Who.
[D'après un message de Scott Eberline] :
Durant la diffusion par Westwood One du concert de Roger Waters à Quebec,
en 1987, durant la tournée "Radio K.A.O.S", une personne parmi le public demande à
Waters qui il voulait couper en petits morceaux. Apparement cela fit remonter de vieux souvenirs
à la mémoire de Roger qui expliqua qu'il s'agissait d'un présentateur de radio anglais
du nom de Jimmy Young. La chanson était conçue comme une attaque personnelle.
Le groupe avait l'habitude de diffuser en concert, un montage sans queue ni tête
des propos de cet animateur, juste avant de jouer "One of these Days".
En fait, on ne trouve aucun Roio contenant un enregistrement d'une telle
mise en scène avant "One of these Days". Mais, lors du concert du 22 décembre 1970, à Sheffield
on peut entendre ce montage pendant "Alan's Psychedelic Breakfast", de même que lors du "British Winter
Tour '74" on pouvait l'entendre certains soirs avant "Raving and Drooling".
De même, sur les démos de "One of these Days" qui circulent, on peut entendre une boucle
sonore du même type.
La basse qui soutient la rythmique du morceau est doublée, David Gilmour joue sur une voie
Roger Waters sur l'autre.
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Le chant que l'on peut entendre à la fin de "Fearless" est le chant des supporters
du club de football de Liverpool. Il s'agit de "You'll never walk alone", composé
par Rodgers et Hammerstein pour leur comédie musicale "Carousel". Le groupe Gerry and The Pacemakers en fit une reprise qui eut un certain succès et c'est cette version qui fut adoptée comme hymne du club de football de Liverpool, et dont les paroles sont gravées au dessus de la porte de leur stade. L'enregistrement que l'on trouve sur "Meddle" est chanté par les Liverpool Loyal Fans et les paroles sont les suivantes : And you'll never walk Alone In the dark Alone Suivi par des cris et des sifflets, puis par : LIVERPOOL ; LIVERPOOL ; LIVERPOOL ! Pour ceux qui seraient des accros du livre "Hitchhiker's Guide to the Galaxy", Eddie, l'ordinateur, chante "You'll Never Walk Alone" à la fin du chapitre 17. |
"Seamus" vient de Seamus, le nom du chien de Steve Marriot. Le groupe eu l'idée de ce
morceau après avoir constaté que le chien commençait à "chanter" quand quelqu'un
jouait de l'harmonica.
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Certains fans considèrent que "Echoes" est la meilleure composition de Pink loyd.
"Echoes" est en fait la résultante de trente-six idées musicales sans relation
qui formaient un morceau dont le titre de travail était : "Nothing, parts 1-24"
(Rien, parties 1 à 24) en dépit des trente-six parties censées le composer...
Les développements ultérieurs furent recomposés en un morceau au titre de travail :
"The Son Of Nothing". Enfin, quand le groupe commença à le présenter sur scène,
le morceau fut présenté sous le titre "Return of the Son of Nothing" (qui sonne
comme un le titre d'un mauvais titre de film de série B).
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Il n'y a pas de quoi ... Grâce à Dave Ward, Sohnosuke Imai, Ian Russel et Vernon Fitch,
on peut suivre l'évolution du titre comme suit :
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[Transcription originale par Matt Denault, Bear, Ray O'Hara et Gerhardt Den Hollander]
Pink loyd, en tous cas avant "Animals", avait l'habitude de présenter des
morceaux inédits en concert ("Murderistic Woman", "The Dark Side of the Moon",
"Raving and Drooling" ...), morceaux qui subissaient des changements significatifs
avant leur enregistrement définitif.
Le premier couplet de "Echoes" était à l'origine très "spatial" et plusieurs Roios
proposent ce texte original, comme ceux enregistrés le 05 Juin 1971 à Berlin
("Lost in the Corridors" et "Mauerspecte" (dont on a reporté plusieurs copies défecteuses
au passage) ou le 20 Juin 1971 à Rome). Malheureusement, aucun de ces enregistrements
n'est de très bonne qualité, mais l'un dans l'autre on peut en déduire à peu près ce qui suit :
"Our two lights shining better than one light can" est le plus logicque en terme de sens. [2] Bien que cette transcription soit la plus sensée, il semble qu'il y ait à l'écoute une syllabe de plus N'oubliez pas, si vous tentez de comparer ce texte avec un enregistrement d'une autre date que vous pourriez avoir, que Waters peut très bien avoir modifié les paroles plusieurs fois avant de finaliser celles que nous connaissons et aimons. La transcription présentée ci-dessus est celle qui est la plus sensée au regard du reste des paroles (qui sont restées inchangées) si l'on considère que le troisième couplet ("cloudless everyday...") parle de la lumière du soleil. Vous trouverez aussi plusieurs transcriptions, faites par les personnes mentionnées en entête de ce paragraphe sur le site http://ultra.gawth.com/~rjones/loyd/lyrics/early.echoes. Finalement, Roger Waters s'est déclaré énervé par l'image un peu trop "Science Fiction" collée à Pink loyd (surtout en relation avec des chansons plus anciennes comme, "Astronomy Domine", "Interstellar Overdrive", "Set the Controls for the Heart of the Sun" et "Point Me At the Sky") expliquant que le groupe était plus intéressé par l'espace intérieur que par l'espace extérieur. De toutes façons, les deux versions de ce premier couplet, convergent vers toutes deux vers la folie. |
Voila qui a fait débat il y a quelques années.
Est-ce que l'on doit entendre
"Everything is green and submarine" ou "Everything is
green and summery ?".
Il faut entendre "Submarine" [merci à Dean Hebert]
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En 1970 et 1971, Pink loyd participa deux fois au John Peel Show sur la BBC.
Les dates exactes d'enregistrement de ces concerts, ainsi que les morceaux
qui y furent joués sont restés un mystère entouré de confusion pendant de nombreuses années,
et de nombreuses publications (y compris le livre "In Sessions Tonight" de la BBC
et les éditions antérieures de cette faq donnèrent des informations erronnées sur ces deux concerts).
Ces deux concerts contiennent quelques uns des meilleurs moments du groupe
et sont parmis les enregistrements les plus répandus. Récemment des fans
décidèrent de compiler l'intégralité de ces deux concerts sur deux Roio
("Mooed Music" et "Meddled").
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"Obscured By Clouds" est la musique du film "La Vallée" enregistrée en moins de
deux semaines au Chateau D'Hérouville (au nord de Paris) entre le 23 et le 26 Février
1972 et le 23 et le 27 Mars 1972. À cette époque, le groupe tournait au Japon et
aux USA avec ce qui allait devenir "The Dark Side of the Moon".
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Il y a moins de différences entre les deux versions (disque / film) pour "Obscured by Clouds"
qu'il n'y en a pour "More".
Un petit morceau instrumental d'une minute et demie se trouve
dans le film mais pas sur le disque.
Et le troisième couplet de "Free Four" change : (merci à Geoff Rimmer)
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Il y avait à l'époque, un format en cartouches de huit morceaux qui fut supplenté par
la cassette vers la fin des années 70. Pour ce format, un album devait être divisé
en quatre parties relativement égales, ce qui nécessitait souvent de réarranger
l'ordre des morceaux d'un disque. Puis, quand la cassette apparut, quelques années plus tard
les maisons de disques ont souvent utilisé les "masters" préparés pour les cartouches,
qui étaient déjà divisés en parties de même durée, ce qui est à l'origine de
l'inversion qui touche "Obscured by Clouds".
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Cette chanson est la dernière avant "Sorrow" pour laquelle David Gilmour est crédité comme
compositeur unique.
Le morceau a été joué quelques fois en concert.
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La tribu qui chante à la fin du morceau est la tribu des Mapuga.
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Il existe plusieurs versions de la pochette de cette compilation :
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Le cd est désormais disponible dans le catalogue régulier du groupe en version
remasterisée, mais avant cette réédition, il s'agissait de l'un des disques
les plus recherchés du groupe. Une petite série fut disponible en Europe
(ce qui en faisait un excellent objet d'échange avec les américains)
et à plus grande échelle en Australie sur le label "Axis" (avec la "coin cover") La pochette de la nouvelle version présente une photo d'une maquette en trois dimensions de la machine dessinée par Nick Mason. |
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